Ilmarë
Aerin

La nature des doux étant d’être doux, on n’entend que les hurlements des brutes, aussi peu nombreuses soient-elles, et on finit par croire qu’on habite un monde de brutes.

Nom: Ilmarë Prénom:Aerin Âge: 200 ans Origine: Elfique Statut: Membre de la délégation Nature: Elfe Richesse: Aerin est issue d'une famille noble, elle vit donc loin du besoin. Signe(s) Particulier(s): Une plaie à l'estomac qui ne se referme pas.

© Aerin Ilmarë

© Aerin Ilmarë

Physique

Chez Aerin, même le physique à changé. A l'origine, ses cheveux étaient d'un châtain clair très lumineux. Son teint était nacré, et ses yeux bleus brillaient d'un regard bienveillant. Désormais, suite à de longues années sous la terre et un esclavagisme poussé, ses cheveux sont devenus noirs corbeau, son teint, toujours très clair, a perdu de son éclat, et son regard est empli de haine et de tristesse. Son visage est fermé, ses sourires rares, et son regard hautain.
Grande et musclée, Aerin l'a toujours été, cependant. Elle a même peut être tendance à l'être un peu trop, perdant un peu de sa féminité. Un peu, car les Elfes sont naturellement gracieux et souples. Cependant, elle est doublement plus agile que ses confrères, avoir été dans le danger permanent durant de longues années a décuplé sa réactivité. Elle garde également comme souvenir de cette période une plaie béante au niveau de l'estomac, qui ne se referme pas. Malgré les efforts de Gil-Galad pour l'aider à soigner cette blessure magique, elle reste là.
Côté vestimentaire, Aerin porte beaucoup de brun, de vert, ainsi que du rouge et du noir. Des couleurs plutôt naturelles. Elle a redécouvert le plaisir de porter des robes et tenues agréables, mais n'en fait pas grand usage, généralement en pantalon de toile. Elle porte des bottes de peau, comme tous ses confrères, et une cape la recouvre lors des sorties officielles. Durant les sortes de la délégation, elle porte une tenue réglementairement raffinée : une robe grise nacrée, brodée de fils d'argent. Sa cape est également grise.

Personnalité

Aerin est à l'origine une elfe tendre et passionnée. Douce et intelligente, elle était d'une compassion rare chez son peuple. Accessible malgré son rang et son entraînement, elle se mettait rarement en colère, et les gens aiment son cœur juste et son caractère souriant.
Mais depuis son retour, Aerin a complètement changé. Sa blessure à l'estomac la fait souffrir depuis plusieurs années. Lorsqu'elle était enfermée, elle n'avait pas le temps d'y penser, la seule pensée qu'elle pouvait avoir était celle de la survie. Mais depuis son retour sa douleur a prit le pas, ce qui fait d'elle une personne irritable et agressive. Anéantie de voir son labeur réduit à néant, la reine ne désirant plus de garde rapprochée spéciale, suite au désastre que cela a engendré, Aerin se sent plus que jamais inutile et a l'impression d'avoir perdu son temps. Elle a en quelque sorte donné sa vie, depuis son enfance jusqu'à son enlèvement et encore à son retour où elle lui vouait toujours une loyauté sans faille, pour une femme qui l'a ensuite mise de côté. Une place dans la délégation elfique était encore bien bas par rapport à ce qu'elle avait fait plus tôt. Se sentant diminuée après tout cela, Aerin a repris un entraînement plus intensif encore qu'avant, surmontant la douleur de sa blessure, pour dépasser les autres et prouver à tous qu'elle était encore capable d'assumer son rôle de protectrice. Elle est meilleure que la plupart (tous?), et elle le montre. Même si cela ne lui permet pas de retrouver son ancienne fonction.
Aerin reste une personne sensible, même si, lorsqu'on touche la corde sensible, on ne déclenche pas des pleurs mais une rage sans limite. Elle est devenue bornée et beaucoup plus solitaire qu'avant. Elle est méfiante envers les autres, et ne supporte pas qu'on essaye de lui arriver à la cheville. Elle n'accepte que l'admiration ou l'aide des autres, rien d'autre. Elle n'est pas agressive lorsqu'on lui parle, pas vraiment... Elle ne sera pas agréable, c'est sûr, mais elle n'attaque pas tous ceux qui lui parlent, modérons nos ardeurs ! Si elle ne fait confiance à personne et se trouve meilleure que tout le monde, elle en reste quelqu'un d'accessible (seul vestige de son « ancien elle »). Elle a également gardé en tête la plupart de sa culture, même si parfois sa mémoire lui fait défaut, et reste une amoureuse de la musique, qu'elle pratique toujours, parfois.
Le fait que la reine lui ai proposé de faire partie de la délégation elfique lui a rendu un peu de son amour propre. Elle se sent à nouveau investie d'une mission, d'un but.

Histoire

Il y a des événements qui peuvent changer une vie. La faire passer, lorsqu'on est chanceux, de l'ombre à la lumière, ou alors ces événements peuvent vous plonger dans l'obscurité la plus profonde. C'est ce qui arriva à Aerin, au sens propre comme au figuré.


Autrefois, Aerin était une noble de sang, et guerrière accomplie. Elle avait suivit depuis son plus jeune âge un entraînement particulièrement intensif, choisie pour ses prédispositions au combat et sa droiture d'esprit. Elle fut vite rejoint par plusieurs elfes qui possédaient les mêmes qualités qu'elle. Pourquoi ? Ils ne le surent que plusieurs semaines après avoir été enrôlés : les ordres elfiques désiraient former les meilleurs combattants pour défendre les personnages importants de leur Royaume, les moins bons seraient remerciés, et les meilleurs obtiendraient d'importantes responsabilités. Ce fut le cas d'Aerin, qui fut placée à la tête de la protection rapprochée de la reine Lliane. Mais ce n'était pas uniquement grâce à ses capacités physiques qu'elle fut choisie : elle avait aussi des qualités intérieures prononcées, qui étaient un gros avantage lorsqu'on passait du temps avec la reine. Elle était d'une compagnie agréable, en plus d'être cultivée et avenante ; elle avait aussi des facilités artistiques qui fascinaient certains de ses confrères, et était une elfe particulièrement raffinée. Aerin n'était pas loin d'incarner la perfection aux yeux de tous, aimée et respectée.
Elle tissa peu à peu d'étroits liens avec son collègue Lahire de la Rochronde, qui était son bras droit pour la protection de la reine et qui, ainsi, les suivait partout. Aerin admirait sa capacité à travailler en groupe, à réunir les troupes, ce qu'elle n'avait jamais réussi à faire. Elle était plutôt solitaire dans son travail, et Lahire était indispensable pour l'aider à unir son équipe. Une grande complicité les unissait, et Aerin ne sut jamais s'il s'agissait d'une forte amitié ou d'une attirance amoureuse. Mais peu importe, elle ne l'a pas revu depuis son retour de l'enfer.

L'enfer. Il existait bel et bien, et sur cette planète.
Lors d'une sortie diplomatique, la reine et ses troupes tombèrent dans une embuscade tendue par un groupe de Fomoires. Personne n'en avait revu depuis des siècles, et l'effet de surprise prit le dessus sur les Elfes, qui virent leur troupe massacrée. Le combat fut rapide, Aerin réussi à mettre la reine à l'abri, sous la protection de Lahire en haut d'un arbre centenaire, pour pouvoir continuer le combat, mais l'arbre fut très vite abattu par les Fomoires. Ces derniers, voyant leur « butin », tentèrent de supprimer Lahire qui s'interposait entre la reine et les ennemis, prêt à défendre jusqu'à la mort sa souveraine. Mais Aerin arriva à son tour, supprima l'un des deux attaquant, le plus menaçant, par un coup de dague droit dans la gorge. Son homologue, voyant son collègue à terre, poussa un hurlement indescriptible, vraisemblablement de rage et, au lieu de tuer Aerin (ce qui aurait été lui rendre service, au final), décida de la ramener de là où ils venaient. Un coup d'une dague empoisonnée la plongea dans un douloureux coma , et à son réveil, elle était bien loin des forêts elfiques. Ce nouveau monde était plein de cendres, de feu, toute végétation avait disparu, et elle ne revit plus le ciel durant douze années.

Le poison de la dague avait comme particularité de ne jamais permettre à la plaie de se refermer complètement. Aerin conserverait cette douleur à vie, l'estomac à jamais ouvert. Aerin servit en premier lieu de servante pour les dirigeants Fomoire. Très faible, elle ne pouvait se déplacer longtemps, mais en réalité ses services les plus longs étaient accomplis allongée...
Puis, lorsque ses enleveurs se furent lassés d'elle et qu'elle eu reprit quelques forces, elle fut envoyée dans une sorte de mine. Les Fomoires recherchaient une sorte de trésor. Elle ne sut quoi durant longtemps, mais peu à peu l'énigme se résolu. Pas d'elle-même, hélas. Aerin fit la connaissance de plusieurs autres condamnés. Au début elle cru à deux humains, et c'était ce que les Fomoires eux même croyaient. Mais en réalité, il s'agissait d'hybrides, une race mêlant Fomoires et Humains. Ces Hybrides lui apprirent que les Fomoires recherchaient le moyen de retrouver leur ancienne magie perdue des siècles auparavant. Ils pensaient que la clé de leur réussite se trouvait dans ces montagnes, mais ils se trompaient. Les Hybrides avaient retrouvé une partie de cette magie, mais ils n'en dirent pas grand chose à Aerin. Cette dernière s'était liée « d'amitié » (si on puis dire ainsi) avec l'un d'entre eux, Abek, qui la prit en quelque sorte sous son aile. Mais, pour une raison inconnue, elle ne le revit plus d'un jour à l'autre, et beaucoup la suspectèrent d'y être pour quelque chose. A partir de ce moment là, elle apprit à se méfier de tous. Ce n'était pas rare que les Fomoires se débarrassent d'un de leur prisonnier on ne savait trop comment sur le coup, et en apprenant par la suite la traîtrise de X ou Y. Sans compter ceux qui tentaient de la coincer dans un coin pour lui voler ce qui lui restait de pudeur (parfois il réussissaient, parfois non, certains y laissaient même leur peau...).
La Libération sonna un jour, un jour comme les autres pourtant, où Aerin s'était levée épuisée, comme toujours depuis... Depuis quand, déjà ? Elle ne le savait plus. Elle ne sut exactement ce qu'il arriva, en réalité. Mutinerie ? Peut être bien, après tout pourquoi pas ? Tout ce qu'elle pu voir, c'est que la panique régnait dans la « mine », tout le monde courait dans tous les sens, et un vacarme avait envahit les lieux. Des cris, des rires, des paroles, des bruits de pas, d'explosion... Soudain elle vit le visage d'Abek.

- Va-t-en, par là, dépêche toi, lui dit-il dans la hâte.

Il pointait son doigt vers ce qui servait de plafond. Il y avait un minuscule trou, d'où perçait une lumière. Le ciel, le soleil. Aerin entreprit d'attaquer le plafond pour agrandir ce trou, mais Abek lui demanda de reculer et la fit se mettre derrière lui. Il plaça alors se main contre la terre près de ce petit trou, et une lumière aveuglante leur perça alors les yeux à tous, qui s'agitaient encore. Il y eu un bruit d'éboulement, un fracas énorme, et le minuscule trou s'était transformée en un gouffre béant, pouvant laisser passer facilement trois personnes plutôt fines (mais il fallait avouer que là où ils se trouvaient, ils n'avait pas eu l'occasion de grossir...). Aerin tenta de parler à Abek, qui s'éloignait déjà. Elle voulait qu'il vienne avec elle, et qu'il lui explique ce qu'il s'était passé. Son visage était abîmé, griffé. Elle le retint par le bras, il se tourna vers elle, et un des hurlements assourdissants envahirent l'espace. Abek se fit emporter au loin par d'autres, et Aerin le perdit de vue très vite. Elle entreprit de partir à sa recherche, mais un autre éboulement eut lieu... Sur les gens cette fois, et dans la direction où Abek avait été emporté.

- Abek !

Aerin décida d'aller voir s'il était sain et sauf, mais à son tour quelqu'un la retint par le bras. Elle fut soulevée immédiatement et emportée, malgré ses gesticulations, à l'extérieur par le trou ouvert par Abek.

- Il faut qu'on y aille, on n'a pas le temps, ils vont arriver.

Il s'agissait d'autres hybrides. Aerin avait vu son ami parler avec certaines de ces personnes. Ils ne lui laissèrent pas le choix, et l'emmenèrent loin de ce chaos.

Ils marchèrent plusieurs jours, campant peu, dormant encore moins. Aerin apprit que ce retournement de situation était du aux Hybrides. Et que c'était aussi à cause d'eux qu'elle s'était retrouvée enfermée. L'un d'entre eux s'était enfui et c'était lorsque les Fomoires étaient à sa recherche qu'ils sont tombés sur les Elfes. Pensant que le fugitif se cachait parmi eux, ils attaquèrent sans plus de réflexion. Les Fomoires voulaient récupérer leur ancienne magie, et comptaient sur les Hybrides pour leur enseigner comment faire. Ceux-ci refusant, ils furent réduits en esclavages.

- Nous ne sommes plus très loin de la forêt des Elfes, dit Horid, le chef de cette troupe vagabonde. Nous ne pouvons t'y accompagner, mais marche sur quelques kilomètres dans cette direction et tu seras chez toi.

Ils se saluèrent chaleureusement, puis se séparèrent.
Aerin, de plus en plus faible à cause de la marche, de l'épuisement et de sa blessure qui ne guérissait pas, marcha longtemps. En temps normal, ces kilomètres auraient été parcourus en quelques minutes, et c'est sans doute ce qu'avait pensé Horid pour la laisser partir seule. Elle se retrouva vite à traîner des pieds, puis à se traîner elle même lourdement. Arrivée à l'orée de la forêt, elle s'installa contre un arbre pour se reposer. La texture du bois lui avait tant manqué ! Il lui avait fallu longtemps aussi pour réussir à regarder le monde de jour, habituée à l'obscurité. La nuit tomba, elle s'allongea sur la terre. Cette texture aussi lui avait manqué... Elle aurait voulu dormir dans un arbre, comme avant, mais trop épuisée, elle ne réussi à bouger, et s'endormit à cet endroit.

Lorsqu'elle se réveilla, elle était dans un lit de feuilles douces. Elle était dans la civilisation. Elle se releva en sursaut.

- Doucement, doucement. Tout va bien.

Aerin vit un homme s'approcher dans la pénombre. Il faisait encore nuit.

- Qui es tu ? Lui demanda-t-il.

Aerin se sentait prête à bondir. Qui était-il, LUI ? Et que lui voulait-il ? Pourquoi l'avait il emmenée ?

- Je m’appelle Aerin, dit elle simplement. Et vous, qui êtes vous ?
- Gil-Galad Vorondwë, magicien du roi Llandon, dit-il. Et toi, Aerin comment ? Ton prénom ne me dit pas qui tu es.
- Aerin Ilmarë, je suis la garde rapprochée de la reine Lliane.
- Ça, ça m'étonnerait, répondit-il.

Il s'assit sur une chaise et s'affaira devant un petit récipient dans lequel il coupait quelque chose. Aerin s'apprêtait à lui demander ce qu'il entendait par là, mais il la devança.

- Je vois qui tu es, mais la reine n'a plus de garde rapprochée depuis plus de dix ans.

C'est ainsi qu'Aerin apprit qu'elle avait disparu de la surface de la Terre depuis douze années, qu'aucune recherche n'avait été entreprise pour la retrouver depuis tout ce temps, et qu'elle n'avait plus ni ami, ni emploi, ni aucune utilité.
Le lendemain, elle fut présentée au roi et à la reine qui, en privé, lui annoncèrent son remplacement. Sa famille l’accueilli, en tout logique, à bras ouverts et heureux de retrouver leur fille, mais Aerin, changée, avait l'impression qu'il s'agissait d'inconnus d'un autre monde. Elle se senti peu à peu isolée, et une haine envahit son cœur suite à cet abandon de son peuple.

Elle garda contact avec Gil-Galad. Peu à peu sa mémoire lui revint. Il y avait quelques personnes qu'elle connaissait ici : elle avait déjà rencontré Gil-Galad par le passé, on avait déjà fait appel à ses talent pour soigner des blessures spéciales. il y avait aussi une Varda, avec qui Aerin s'entrainait souvent. C'était même une de ses amies... Mais elle ne savait où elle était désormais, elle avait comme disparu de la surface du royaume. Et Lahire aussi. Qu'elle savait au château mais hors d'atteinte. Mais pourquoi, lui, n'essayait-il pas de rentrer en contact avec elle ? Il lui était plus facile de descendre la rejoindre que elle de monter pour lui parler...
Lorsqu'elle fut contactée pour faire partie de la délégation, Aerin fut envahie d'une joie qu'elle n'avait pas ressentie depuis des années. Elle allait enfin pouvoir faire à nouveau ses preuves, retrouver ce pour quoi elle avait été formée ! Quelle fut sa surprise lorsqu'elle apprit que c'était Lahire le chef de la délégation... Avait-il quelque chose à voir avec son enrôlement, ou Aerin pouvait-elle compter sur ses qualités personnelles ?

Exemple de RP

Augustus était quelqu’un de très impliqué dans ce qu’il faisait. L’ennui était que parfois, quand il voulait deux choses, l’une pouvait entraver l’autre. Ce jour là c’était « Silverhate vs. Famille ». Il voulait absolument avancer, mais il avait peur de mettre en danger sa sœur. C’est pourquoi June reconnut bien son frère lorsqu’il reprit sur un ton plus doux qu’elle devait faire attention à elle. Attention à elle, June le faisait toujours exclusivement pour son frère, le seul qui comptait pour elle et qui était là pour elle, aussi. Elle ne le lui disait jamais, mais il devait se douter de l’affection qu’elle lui portait. Elle acquiesça d’un léger mouvement de la tête.

Ensuite, June assista silencieusement à l’agacement intérieur de son frère par rapport à la nouvelle recrue. Elle savait qu’il serait d’accord sur le fait de le garder. Ca en ferait un ennemi trop important si les Phénix mettaient la main dessus. Augustus sourit ensuite à la proposition de June, qui voulait le garder à l’œil. Augustus voulait carrément le faire suivre. Ca ne l’étonnait pas de lui, elle savait qu’il garderait le goût amer d’une défaite, lui qui voulait pouvoir se diriger seul, il avait trouvé quelqu’un qui peut être pourrait le faire tomber à genou en cas de trahison…

- J’irai avec Angus, si tu veux. Tu as des choses plus importantes à penser et je pense qu’on peut s’en charger.

Elle craignait également que son frère décide de se mesurer à nouveau à lui, ne serait ce que pour se rassurer. Elle savait qu’Angie était un (très) bon sorcier, mais à vrai dire, elle n’était pas sûre que le fait qu’il combatte à nouveau leur nouvelle recrue, seul à seul, soit une bonne idée. Mais elle savait qu’il voudrait pouvoir vérifier que les Silverhate (et surtout lui) pourraient le maîtriser en cas de … débordement.

- Je peux le provoquer en duel à mon tour, si tu veux être sûr… dit-elle en le regardant d’un air beaucoup plus grave, tout à coup. Je sais que tu n’étais pas au meilleur de ta forme aujourd’hui, et que tu es suffisamment censé pour ne pas réclamer de nouveau duel.

Elle savait qu’il allait sûrement refuser, mais après tout, elle avait son mot à dire et aussi le droit de vouloir vérifier elle-même qu’ils ne risquaient aucune mutinerie. A présent, elle regardait Augustus d’un air qui reflétait le défi.

© Aerin Ilmarë

Hors-Jeu

? Personnalité de l'avatar:Amy Lee (j'ai changé de l'original) ? Avez-vous choisi un personnage prédéfini ?Oui ? Comment avez-vous découvert le forum ?Par Tour de Jeu ? Quel âge avec-vous ?20 ans ? Les règles du forum ont été lues et signées ?Voui ! ? Des remarques à faire sur le forum ?Alors pour le négatif je suis pas fan du tout de la bannière (mais tout le CSS du forum est top, j'adore votre fiche de présentation <3). Sinon je suis en train de lire un livre sur les légendes européennes, et j'y ai trouvé les Tuatha Dé Dannann, les formoires etc. J'adore le fait que vous ayez mixé les légendes celtiques pour faire un forum plus intéressant qu'un simple Camelot